À peine deux semaines après mon retour de Lausanne, j’ai eu l’occasion de retourner
en Suisse – à Genève cette fois-co. Comme quoi, la vie est faite d’imprévus et c’est
ça qui est bon. Je n’avais jamais mis les pieds en Suisse francophone et ne connaissais
que la charmante ville de Bâle, quand
soudain, BAM, j’enchaîne deux passages très rapprochés dans deux villes
helvétiques différentes. À trois heures de route de chez moi, c'était jouable. J'ai même fait un arrêt à un endroit pour le moins surprenant dans l'Ain. Car oui, je n'avais absolument pas connaissance de ce commerce historique.
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Les glacières de Sylans au bord du lac du même nom. |
Genève est plate et n’a clairement pas l’attrait de
Lausanne, celle « qui monte et qui descend ». À part le Léman et le célèbre
jet d’eau qui me rappelle MA ville –
je sais bien que le second n’est qu’une imitation du premier, mais dans mon
petit cœur, c’est l’inverse – Genève n’a rien de palpitant. Heureusement, mon
hôte du village de Puplinge m’a montré un trésor naturel caché : le marais
de Sionnet. À voir absolument !
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Regardez-moi cet ocre. |
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Le marais de Sionnet est un site ornithologique majeur. |
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L'hiver est une très belle saison pour s'y promener, entre l'ocre de la flore et les sommets enneigés au loin. |
Cette magnifique découverte m'a été proposée le jour de mon arrivée. Le lendemain, direction Genève, sous un temps radieux et à la limite du printanier.
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Si si, c'est bien le lac Léman en février. |
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Une copie de la Place Wilson de Dijon. Mais qui a copié qui ? Peu importe. |
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Clin d'oeil floral à l'horlogerie suisse. |
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Et ouais. À Genève, ils ont même un tramway rose ! |
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Sur ce, je repars avec ce que la Suisse fait de mieux... |
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