Comme vous le savez,
je suis amoureuse de Dijon ; la preuve ici. Et les apéritifs de la Tour sont un incontournable des longues
et chaudes soirées d’été dijonnaises. L’appellation parle d’elle-même : en
petit groupe mené par un guide, vous grimpez les marches de la Tour Philippe le
Bon – symbole du pouvoir et de l’étendue du duché de Bourgogne à son apogée, au
XVIe siècle. L’ascension dans les vieilles pierres est aussi rafraîchissante qu’intéressante
et ne parlons pas de l’arrivée en haut de la Tour. Au-delà des spécialités bourguignonnes
qui vous y attendent – vin dont la réputation n’est plus à faire, pâté persillé
que je déteste mais bon, gougères –,
le panorama sur la cité des ducs est exceptionnel.
Tout cela pour une vingtaine d’euros.
J’ai participé à cette
activité touristique avec une copine dijonnaise « de souche » et je
peux vous assurer que redécouvrir sa ville d’en haut est encore plus jouissif que pour des gens de passage. Les lieux connus, parcourus des milliers de fois
prennent une tout autre dimension avec ce changement de perspective.
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Le beau demi-cercle de place de la Libération, au pied de la Tour et en face du Palais des Ducs. Coupole de l’église Sainte-Anne. |
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Une partie du palais des ducs, place du Théâtre et église Saint-Michel. |
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Clocher de la sublime Notre-Dame de Dijon, connue pour sa façade occidentale avec ses nombreuses gargouilles. |
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Hôtel de Vogüé avec sa toiture en tuiles vernissées de Bourgogne. Tour Saint-Nicolas. Seul vestige de l’église Saint-Nicolas, elle date du XVe siècle. |
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Dijon est surnommée la ville aux 100 clochers. Vers la gauche, la cathédrale Sainte-Bénigne. Tout à gauche, l’église désaffectée Saint-Jean de Dijon qui héberge le Théâtre Dijon-Bourgogne. |
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