Les temps sont durs, mais
le confinement a du bon. Il nous permet de lire des livres, de ranger tout ce
bordel à la maison, de cuisiner, et parfois même d’écrire pour se remémorer des
jours meilleurs.
Après deux voyages au Vietnam, il était grand temps de visiter cette
terre ultra touristique qu’est la Thaïlande. Pourquoi faire les choses dans
l’ordre – et donc aller du plus évident au plus compliqué – quand on peut les
faire dans le désordre et par là apprécier le confort d’un pays accueillant et
habitué au tourisme depuis des décennies. Car oui, la Thaïlande mérite son
étiquette de « pays du sourire » ; je la certifie
personnellement et la tamponne ! Rien à voir avec l’agressivité des
Vietnamiens pour vous arnaquer…euh pardon, vous pousser à la dépense. Ici, on
nous appelle certes les farangs, mais le seul pays de la région qui n’a
jamais été colonisé par les Occidentaux ne semble pas nourrir la moindre
rancœur historique vis-à-vis de ces derniers. La gangrène du tourisme sexuel et
la destruction des beautés naturelles par le tourisme de
masse, c’est autre chose. Mais passons, ´cet article est intégré à la rubrique « Voyages » de ce blog, pas « Réflexions ».
Arrivés à Bangkok, le
premier contact avec la chaleur écrasante de l’Asie du Sud-Est ne déçoit pas. À
la sortie de l’aéroport, juste avant de monter dans le bus S1 –
navette qui existe depuis 2017 seulement, et que je recommande à tous les
routards de Khao San – c’est un coup de massue qui nous crie au visage
« Ah ben te revoilà ! Bienvenue dans nos contrées exotiques,
prépare-toi à transpirer ! ». Le dépaysement opère toujours, malgré
ce goût délicieux de retrouvailles.
Le décalage
horaire/climatique se faisant bien sentir, on pionce dans le bus, comme tous
les autres passagers sans exception. Arrivés à l’hôtel, la même. Ce n’est que
le lendemain matin que les visites peuvent commencer, et la première surprise
est douce. Écoutez
les cantillations à l’aube des moines du temple Wat Bowonniwet, prosternés
devant la statue de Phra Phuttha
Chinnasi dans le sanctuaire principal. Les
cendres d’un roi de la dynastie des Chakri sont conservées dans la base d’une
statue de Bouddha.
Son chedi
doré renferme des reliques sacrées
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La piété
féline
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À quelques minutes à pied,
Le Phra
Sumen Fort, l’un des seuls forts encore en état
de la cité de Rattanakosin,
berceau historique de l’actuelle Bangkok.
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L’intérêt n’est pas le bâtiment (fermé aux visites),
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mais son
joli parc fleuri,
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loin de
la circulation,
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et
surtout au bord du Chao Phraya. Vue sur
l’imposant pont Rama VIII.
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Mais rentrons dans le vif
du sujet, à savoir LE site à visiter quand vous atterrissez à Bangkok et n’y
restez que quelques jours – difficile de s’éterniser dans une ville si
étouffante – : j’ai nommé Ayutthaya. À deux heures de train de l’infernale
mégalopole, les ruines des temples de la capitale du royaume d’Ayutthaya vous
attendent. Avant sa destruction en 1767 des suites d’une attaque birmane, la
cité de ce royaume dont le territoire correspondait grosso modo à celui de la
Thaïlande d’aujourd’hui était l’une des plus peuplées au monde. Et pour
cause ! Parmi les nombreux touristes qui choisissent cette destination,
beaucoup prennent deux journées pour visiter ces temples majestueux qui ont –
bien ! - survécu à l’armée birmane. Le site est immense, mais nous nous
sommes contentés d’une journée en tuk-tuk, le but n’étant pas de tout voir, de
courir – la chaleur empêcherait la moindre prise de vitesse de toutes façons –,
ou même de se lasser. Car oui, une fois qu’on a vu les principaux sites, le
risque de devenir blasés peut guetter, et ce serait une hérésie !
À noter que la prestigieuse
capitale du royaume de Siam a été fondée en 1350 à cet endroit précis pour des
raisons stratégiques. Entourée de canaux, elle était plus difficile d’accès
pour les ennemis – bon, ça n’a pas suffi – et peut donc être visitée en bateau.
D’ailleurs, il faut prendre une petite navette depuis la gare pour accéder à
l’île.
En une journée, vous
imaginez bien que nous avons recentré notre visite sur les temples les plus
remarquables.
Wat Yai
Chai Mongkol
Son chedi
monumental
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Ses
nombreuses statues de bouddha
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Et c’est
parti pour l’ascension
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Vue sur
l’ubosot (salle d’ordination)
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Pour
mieux se rendre compte de l’abondance de ces statues
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Le calme
avant la tempête…
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…Et là,
c’est le drame !
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Et
c’est pire à l’intérieur du chedi.
Le
célèbre Bouddha couché. Statue de 15 m de long, au milieu des ruines d’un
Vihara.
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36
degrés, plein soleil. Au bout du rouleau…
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Avec le prang principal, l’un des plus beaux de la
cité.
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Wat Phra Si Sanphet
Le plus grand des sites avec ses trois chedis centraux qui abritent les
« corps » des trois rois des XVe et XVIe siècles. Attention, le
temple a été bien bien attaqué par les Birmans et il en reste majoritairement
des ruines.
La princesse enfermée dans
son château
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Et photobombée…
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Viharn Phra Mongkol Bophit
Seul temple
d’Ayutthaya actuellement en activité, son état montre bien qu’il a subi une
rénovation, en l’occurrence en 1957.
Grand Bouddha
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Wat Phra Ram
Mais sans plus. Le
temple étant très peu entretenu, il ne fait pas partie des incontournables de
la ville.
Alors on rentre.
Khao San
Alors un petit tour
dans l’infernale rue attrape-touriste à l'heure du réveil, disons vers 21h…
Avant le combat de muay thai
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Les incontournables de Bangkok
Officiellement, car
je pense que l’on aurait dû contourner le Palais Royal envahi par les bus de
Chinois et le temple du bouddha couché dont on voit à peine la statue
emblématique.
L’envers du décor de la richissime capitale
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Le brave Monsieur actuellement confiné dans une villa
de luxe
avec une vingtaine de putes…
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La résidence dudit brave Monsieur et de ses ancêtres
aka le Grand Palais
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Sanctuaire du pilier de la ville
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À l’intérieur, on trouve notamment le premier pilier
de la ville,
érigé par Rama I en 1782, quand Bangkok devint la capitale du
royaume.
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Ministère de la Défense
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C’est parti pour la visite du complexe du Grand Palais.
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Je ne mentais pas quand je disais que nous n’étions
pas seuls.
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Toujours cette abondance des décorations.
Impossible de s’en lasser. Admirez les statues de guerriers ici.
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Je ne l’ai pas encore écrit mais les photos parlent d’elles-mêmes :
ciel bleu pendant tout le séjour,
un régal pour les yeux. Vive la saison sèche.
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Admirez ces deux statues de gardes.
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Admirez cette absence d’hommes !
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Et s’il valait ses 500 bahts « for foreigners », tout compte fait ? |
Un séjour en Asie du sud-est sans eux est impossible.
Même au cœur de Bangkok,
ils ont tenu à me souhaiter la bienvenue : merci
les moustiques. Merci.
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Ding dong.
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Un cliché qui montre bien le faste du Palais Royal.
Sublime.
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Des os d’éléphant, l’emblème de la Thaïlande.
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Jolie perspective.
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Après le Wat Phra
Kaew, marchons quelques minutes sous un soleil ardent afin de rejoindre le
deuxième gros « To-do » – pour reprendre un horrible anglicisme –
de Bangkok : le Wat Pho, le temple du Buddha couché. Immense déception,
comme indiqué plus haut. Pour la modique somme de 200 baths, les « foreigners »
auront le privilège d’apercevoir des bouts de cette immense statue entre de
vulgaires gros piliers. Ceci dit, l’extérieur du temple est très charmant.
J’avais prévenu.
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43 m de long et 15 m de long !
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Même l’arrière de la tête est impressionnant.
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J’ai limite préféré les jolies petites statues à l’extérieur.
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Vraiment beau.
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Chiang Mai
Bref. La capitale est
torride, quittons-la.
Rafraîchissons-nous dans la paisible Chiang Mai. Avec ses 961 000
habitants et ses nuits fraîches précédant des journées aux 30°C secs et
supportables, elle nous fait respirer. Cette ville et ses alentours sont un
bonheur.
À commencer par le Wat Lok Moli, magnifique temple de
bois fort heureusement inconnu des touristes.
Désert lors de notre visite.
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Atypique. |
Pourquoi tous ces coqs…Je n’ai pas eu la réponse.
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Wat Khuan Khama.
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Porte Chang Phuak, également appelée porte des
éléphants blancs.
Porte nord de la ville, construite au Moyen-Âge.
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Wat Saen Muang Ma Luang (Wat Hua Khuang)
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Vraiment très beau. Les temples de Chiang Mai, comme
partout ailleurs
en Thaïlande – j’imagine – rivalisent de majesté et pas une
seconde
je ne me suis lassée de cette abondance de détails.
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Joli gong.
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Et oui, elle n’avait pas l’air comme ça depuis la rue,
mais l’enceinte du temple est assez grande.
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Une dernière pour la route.
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Ainsi s’achève le
florilège des plus jolis temples du nord de la vieille ville de Chang Mai. Je
regrette cependant d’avoir manqué le Wat Chiang Man, temple plus ancien et
pourtant à deux pas du Wat Saen Muang Ma Luang.
Tant d’images et tant
de mots sans avoir abordé l’un des éléments clé d’un voyage en Asie : la
gastronomie. Il était temps d’y remédier. Alors en plus d’être très épicée, la
bouffe thaïlandaise – selon moi – ne vaut pas celle du Vietnam, mais
une bonne soupe de nouilles avec des légumes frais ne fait jamais de mal !
Reform Kafé, restaurant vegan très agréable.
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Avec des chats en plus ! |
Il est temps de
quitter les murs de la vieille ville de Chiang Mai pour gagner en hauteur et
rejoindre le célèbre Wat Prathat Doi Suthep, du nom de la montagne dans
laquelle il se trouve. Attention les yeux, ça brille !
Non, je n’ai pas retouché la luminosité.
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La vue sur Chiang Mai dont on vous rabat les oreilles,
alors qu’elle n’est pas dingue.
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En revanche, ces colonnes et les scènes qu’elles
comportent le sont.
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Sur ce, retour au
bercail citadin.
Le marché de nuit de Chiang Mai, dont on vous rebat là
aussi les oreilles, mais plus que de raison.
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L’un des plats les plus dégueulasses que j’ai mangé de
ma vie, bourré de mayonnaise.
Impossible de retrouver le nom du restaurant
japonais où nous étions.
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Fait chaud…
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Le Three Kings Monument : au centre de la ville,
il en est le symbole.
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Juste à côté de ces
statues des rois Mengrai – fondateur de Chiang Mai - Ramkamhaeng de Sukothai et Ngam Muang de
Payao, nous embarquons dans un songthaew en direction du « Grand Canyon ».
Car c’est dans ce sublime parc aquatique au sein d’une ancienne carrière que nous
allons célébrer le solstice d’hiver comme il se doit. Nous sommes donc le 21
décembre, et quel bonheur de fêter la nuit la plus longue de l’année en t-shirt ! L'organisateur de l'événement s'appelle Dreamscape, et son nom ne ment pas.
Pictogramme intriguant.
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Les plats sur place très thaïlandais…comprenez qui arrachent
la gueule
car pas adaptés pour les touristes.
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La nuit tombe et la baignade va bientôt laisser place
à la fête.
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From the cliff with love.
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Tandis que la célébration
du solstice bat son plein dans cette assemblée de hippies, une danseuse du feu
requinque tout le monde.
Le lendemain, un
déjeuner copieux – mais où en Thaïlande ne mange-t-on pas copieusement ? –
s’impose. Et comme on a bien la flemme après une nuit de folie, direction le Fern Forest Café, juste à côté du
Common Hostel. Une grande cour bondée, un service attentif, sympathique et
rapide, et surtout des plats dé-li-cieux. Le meilleur restaurant de l’ensemble
de mon séjour.
Contrairement à mes voyages au Vietnam,
je n’ai pas
honoré la tradition du jus de coco à l’arrivée.
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Les limonades : leur goût est à la hauteur de
leurs couleurs.
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Tranche de (chienne
de) vie. Le bruit, la chaleur, rien à woof.
Mon cliché préféré du site.
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Vue sur le Pingdoi Hualin Boutique Hotel.
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Sur ce. Au revoir,
Chiang Mai. Tu vas me manquer.
Vue
sur la vieille ville, en particulier sur le canal boisé qui la délimite.
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Petites impressions de Bangkok avant de rentrer
Recommandation à Khao
San.
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Monument de la Démocratie.
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Finissons en beauté.
Je n’ai pas pu résister : Kitty Cat Café.
Grumpy cat.
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Simple et magnifique.
De retour à l’auberge, on comprend que ce n’est pas Noel pour tout le monde.
Ceci dit, le touriste occidental en Thaïlande se trouve assez « protégé »
de l’hystérie collective que déclenche cette fête dans son pays. Pas de Wham ou
Mariah Carey dans tous les restaurants, encore moins de serveurs avec des
bonnets de père Noel. Décidément, le royaume marque des points un peu partout.
Même l’aéroport de Suvarnabhumi est spacieux, bien
organisé, très agréable.
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Comme l’A380 – le premier de ma vie – pour les deux
vols retours.
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Le désert autour de Duba
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La tour Burj Khalifa au loin, qui supplante toute la
population de gratte-ciel.
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